Ton corps à la peau nacrée
Vêtue d’une robe opaline
Aux broderies perlées cristallines
Illuminent les collines de ta poitrine
Sous un clair de l’aube moelleux
Tu attends toute sereine
Entre tes seins un souffle de brise gracieux
Ouvrant l’écluse dans tes veines
Chemin vers le coeur silencieux
Où en soleil l’amour sur l’horizon se réveille
Allumant dans le sang les feux
Pour une danse au matin des merveilles
Dans l’ambiance d’un réveil fiévreux
Où ton âme s’enivre de rosée vermeille
Que distillent mes fébriles yeux
Larmoyant dans l’éveil
rivedusoleil
20/11/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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