Vu qu’on allait droit dans le mur,
Paris a banni la voiture ;
Le coup de chaud de la planète,
Dû à l’oxyde de carbone :
Il est plus que temps qu’on l’arrête,
Remontons sur nos bicyclettes,
Pour sauver la couche d’ozone.
Changeons le paysage urbain,
Accommodons-nous du crottin,
Qui n’incommodait Gulliver,
Pourtant dégoûté des humains,
A l’odeur pour lui délétère.
Le véhicule hippomobile,
Vaut bien mieux que l’automobile.
Dans la capitale, les fiacres,
Du temps d’Honoré de Balzac.
Mais de l’air pur plein nos poumons,
Nous oublions la pollution.
Nous allons partout pedibus,
Sans jamais prendre l’autobus,
Nous ne prenrons plus les avions
Pour aller au bout de la terre,
Mais au fond, avions-nous besoin
De tous ces voyages lointains ?
Dumnac