comme c'est bien écrit,
cette course infernale, qui jamais ne prendra fin
sauf au dernier soupir..
helas, le temps fuit, le temps va
les aiguilles au cadran tournent tournent
inlassablement
belle évocation poétique, qui nous tient en haleine
tout au long de sa lecture
Nous courrons après les heures,
qui s’enfuient devant nos pieds,
j'aime
bisous
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EVELYNE NADINE maryjo 2O11