L'homme aime, épris de la femme
Cette différence qui l'enflamme ;
Produisant la douce attirance
Emmenant à vouloir la jouissance
Du doux désir qui l'obnubile
Au point de le rendre servile !
En faisant de lui un accroc
De l'autre sexe un vrai dévot.
Cependant, il n'y est pour rien
Car dominé par cet instinct;
Qui le rapproche de l'âme soeur
De l'envie de goûter au bonheur !
Des deux sexes n'en faire qu'un
En souhaitant l'instant opportun !
Où la femelle éprise du sien ;
Lui dise si gentiment vient !
Quand sous le feu de la passion
Les deux organes, font la jonction;
Qu'alors les relations intimes
Suscitent ce bonheur sublime.
Comprenez que l'effervescence !
Générée par la puissante attirance
Fasse aux amants sentant la flamme
S'abandonner au plaisir de l'âme !
Guyh