Verdoyante et fleurie, le vent y caracole,
En ta pure nostalgie, tu invites au repos,
Nichant dans tes sous-bois, les pies font les folles,
Dans tes cieux, se reflète la gloire de tes flots,
Ecoutant ta chanson rayonnante immortelle,
Entendant ta prière lancinante éternelle.
Parfumée aux embruns, tu guètes ma venue,
Irisée, éblouie, tu te jettes dans les nues,
Tes lèvres sont des safirs, tes yeux des émeraudes,
Où le ciel se mire dans ta longue verte robe. De
Rayons de soleil, en arc-en-ciel lumineux,
En parcourant tes plages et tes dunes des yeux,
Sache que mon doux coeur à jamais est le tien,
Qu'il suffit d'un baiser pour demander ma main ;
Une tendre pensée vers toi toujnours m'emmène,
Eternelle Vendée tu es celle que j'aime.
Antigone (7.8.2005)
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(c) Antigone
"L'amour, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction" (Antoine de Saint-Exupéry)