Au bord de l’étang la brume se levait
dévoilant l’art d’un dormant grisé ;
cinq heures du mat’ d’un vent de fraîcheur
éveillant parfums encor endormis d’heur’
glissa le regard au reflet irisé

Chœur de passereaux chanta la levée
de la brume amusée de paraître ailée
d’une évidence partirait la journée
de l’espérance à devenir miroir
habiller l’horizon au couchant d’un soir

Au bord de l’étang la Vie s’organisait
révélant volants frôler la surface
en dépit de gourmands du désir goûté
la saveur du matin parfumant l’espace
de ce frétillé leur offrant sauté

Ils se contemplaient au bord de l’étang
d’une tendresse égayant des papillons
se réveillant doux de la nuit rêvée ;
elle se leva plongeant en l’irisée
sous le regard de celui qui l’adorait…


Oli ©…Au bord de l’étang
© (P)-03/06/18 à YouC (Quintil, 10,11p) *You043

J'ai vu de superbes images poétiques au bord de cet étang .

oui moi aussi j'ai vu quelques images, c'est joliment écrit

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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.

Bonsoir Woodelys,

De superbes images poétiques !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)