La vie s'étire comme un long soupir
Plus rien ici-bas ne la dérange
Elle pousse, d'une main fatiguée, ceux qui veulent périr
Et elle berce dans l'ombre des rêveries étranges.

Elle se blottit parfois dans les cœurs
Des oiseaux, des papillons et des fleurs
Et puis se retire sans laisser de regrets.
Elle flotte dans les airs et le vent la pousse à son gré.

Son passage pourtant illumine les fronts
Elle les touche de sa grâce quand elle le désire,
Puis s'en va seule vers de nouveaux horizons.
Et habillé de noir ou de blanc toujours elle se retire.

Quand elle s'endort dans le cœur d'une rose
Elle rêve à l'amour et à des tas d'autres choses...

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/

Bonsoir Jean-Yves,

Très tendre et beau !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bonsoir, ma question est après lecture mais de qui veut il bien parler ?... le mystère de la poésie capter sans vraiment comprendre... Merci pour ce partage et désolé pour mon commentaire je ne trouve pas les mots... Parfois et très souvent... Mes amitiés...