Dans la plénitude de la vallée sacrée
Seul le vent parle au silence
Les pensées aux rayons de lune enlacées
Dans l’air l’emblème du rêve se balance
Avec ces brises toutes légères noyées
Dans la mer brumeuse de l’absence
Secouent font trembler les airs
Tracent le chemin pour les doléances
Vallée du cœur aux étreintes
Des ombres et des lueurs
Aux reflets des larmes jointes
Tu es l’asile des ferveurs
Le passé agile orfèvre
Tisse son manteau de tuteur
Avec des mots ruisselant sur les lèvres
Fleuve d’un écrit salvateur
rivedusoleil
28/3/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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