A gauche, la rue droite
Grise et ensoleillée
À gauche, la mer tendre et sablonneuse
Tout rien ou presque quelque corps allongé sur la sable sous un parasol
Derrière un immeuble parsemé de parasols
Tout ses éléments si étrangers les uns aux autres se retrouvent sous un regard
Des choses inutiles sont là tout près à jouer leur rôle le parasol
pour lutter contre l’inéluctable
L’immeuble pour protéger les habitants
La mer pour occuper ceux qui ne s’y baignent pas
Et cet autre qui regarde stupidement ce paysage //

Peut-être une façon d'occuper le regard vide ?

Claude