Certains n’ont de très hauts salaires,
Ne sont jamais dans la lumière,
Ils sont de simples porteurs d’eau
À l’Atletico Bilbao.
Ils seront OK ou KO
Sans attendre l’Eldorado,
Et de devenir superstars,
Ils ont perdu le moindre espoir.
Que chacun ne joue pour sa pomme,
Qu’à ses potes le ballon il donne,
Car si chacun, seul, s’époumone,
L’équipe ne sera championne.
Il y a plein de super-égos,
Parmi nos onze parigots,
Ils doivent jouer comme un seul homme,
Afin que l’équipe rayonne.
Au Real et à Barcelone,
Les équipiers ne sont égaux,
Mais tous, sous le même drapeau,
Ils doivent mouiller le maillot.
Au grand Critiano Ronaldo, Karim
A fait deux passes décisives,
En récompense du cadeau,
Il a pu tirer le péno.
Dumnac