Que de chants laissés sur tes sillages
Portés par les vents des souvenirs
Avec les mots défiant les âges
Et que le temps dans la mémoire fait rajeunir
Je t’ai chantée l’hymne de mes vagues
Sur tes traces sur une plage lunaire
Quand mon regard sur ton visage divague
Avec tes yeux une douce mer
Mes hallucinations je les partage
Dans l’éternelle absence sans sommeil
Avec ton ombre dans un ciel vermeil
Ton cœur de soleil illuminant mes noirs nuages
Avec tes mains brisant le mur sous mon regard
Sous un flux de lumière d’amour
Se côtoient nos deux visages !
Dans un rêve aux beaux rivages
rivedusoleil
31/1/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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