Cantilène.-
Je pleure ma douleur étouffée.
Divagation, l’impossible retour.
Je me cherche sans discours.
Mon cœur rague sa destinée.
Je pleure pour me délivrer.
L’incapable, l’essoufflement.
J’ai mal, l’horrible dément.
Le secours, je suis dérouté.
Je pleure discrètement, vraiment.
En retrait, si possible, douleur.
La déchirure totale, l’horreur.
Le motus Ă travers mon sang.
Je pleure des larmes chagrinées.
Le ghetto absolu, le cœur émotionnable.
L’empreinte indescriptible, indéchiffrable.
Le détour, la fausseté rêvée.
Je pleure, lassitude, lassitude…
Donnez-moi la force d’arrêter.
Un repos de l’âme souhaitée.
Un sommeil, douce plénitude…
André,épervier
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Douce plume, guide ma main
dans tes folles aventures...
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