Combien de fois as-tu
enlacé des chimères
et combien as-tu cru
aux mirages de la terre
au bout des horizons
découvrant des vallons
tu croyais aux soleils
y trouvant des merveilles

tu partais comme un fou
pour aller embrasser
l'essence des hindous
que t'aimais incarner
avec cet air serein
que je ressentais bien
je marchais avec toi
dans ces lieux tout là-bas

nous étions tous les deux
loin de ce monde concret
les lumières plein les yeux
éblouis par la paix
cette paix intérieure
qui émane des prieurs
nous étions où tu es
pour une éternité

Un texte intéressant sur le contraste entre le presque purement matériel et agressif de nos pays "développés" et le mystique apaisant qui peut s'épanouir dans des pays moins défavorisés.
Ce n'est pas forcément toujours la panacée du bonheur, mais cela ouvre à d'autres valeurs, ce que tu exprimes bien.

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)

Bonsoir Bip,

Très belle réflexion poétique !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

la chûte est dramatique!


une belle analyse

bravo


amitiés


MG

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"il est conseillé de toujours répondre aux imbéciles par le silence"!

merci beaucoup à vous trois

Merci pour ce très beau et touchant partage poétique

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran