Des strates aux sphères. (Ephemerides : Un estate surrealista.)
Des strates aux sphères.
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(Ephémérides : Un ‘estate surrelista.)
Cassiopée traîne aux mansardes,
Jouant des sous-bois, aux barres des cités,
Le corps en tronçon, la poitrine bavarde,
Distribuant des claques pour l’éternité.
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Le jour où tu me collas contre les volets,
Mille et une fumées au fumet bleuâtre,
Découvrent l’aigreur de baisers au palais,
La douceur surprend les caresses d’albâtre.
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Cassiopée en campagne, épilogue,
Trace, nuage en tête, au gré du vent,
Laisse la part belle aux astrologues,
Artificiant l’émotion tout en rêvant.
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Ainsi déroule t-elle les voluptés,
Dissipant les jeux dans l’atmosphère,
Rompant à toute voile, feu à volonté !
Quatorze ans, dans la tête, des strates aux sphères.
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Je revois Cassiopée aux hasards astrologues,
Vibrant d’enfance, à la clé, en rêvant,
Le vent sur mon âme, épilogue,
Ouvre la porte, septième ciel, amour béant.
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