Broussailleux ....
Quand le ciel devient un buisson d’été
Aux tapis rouges de déchirures
Avec les chemins cendrés que laissent les feux
Des foudres dans les blessures
Dans la nuit froide gèlent les bourgeons
Le sang se couvre d’écailles des silences
Dans l’attente d’un printemps des floraisons
Des sentiments latents en dormance
Sur les champs de mes yeux broussailleux
Naviguent les vents de l’absence
De loin ton regard fixe des chemins lumineux
Vers le cœur aux couleurs d’espérance
Solitaire je sentais l’odeur de ton haleine
Dans le rêve mes pensées se soulent
Ô Magique parfums ravivant mes sens
Dans la nuit de l’illusion le noir s’écroule
rivedusoleil
9/5/2017
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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