Hier tu frémissais
Au moindre souffle

Hier tu vibrais
A la moindre lueur

Ton regard pétillait d'étonnement

Ton coeur s'ébahissait
Ton sang était de sève
Ton corps était de fièvre et de vigueur

Tes horizons étaient porteurs
D'une formidable espérance

La vie pulsait en tout ton être

Ton futur était infini

Sens à l'affût
Tu existais
A pleins poumons

Tu n'avais pas encore été frappé
Par la paralysie du désenchantement

Tout pétri de réminiscences
Tu aimerais partir encore en quête

Et tu implores ta muse
De t'alléger
De tes présentes pesanteurs



Texte protégé par copyright

Je te souhaite pour demain plein de nouveaux enchantements quant à ta muse, je la trouve tout à fait à la hauteur !

bisous 8-)

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

Dans un style bien personnel et séduisant, un très belle poésie qui pose une sérieuse question sur l'existence.

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)

Merci Daniel de ton passage et de ton commentaire. Ah ! nostalgie quand tu nous tiens...

Amitiés

Roger

Superbe Roger,

il me semble que l'angoisse de la feuille blanche ne soit pas de mise, et que ta muse te fera t'émerveiller encore devant les mille et une belles choses de la vie...

Amitiés
jicé
:-x 8-)

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L'amour c'est lorsque son nom est tatoué en votre coeur,
La poésie c'est lorsque votre coeur est tatoué en son nom.

http://www.mespoemes.net/bollycoco/

:-D :-( :-D :-(

Merci de ton passage et de tes appréciations jicé. Il est des jours où dame nostalgie nous envahit.

Amitiés

Roger