En France, la crémation progresse. 30 % aujourd'hui des décès. 50 % dans quelques années.
Je suis assez réac sur ce point et je pense partager le point de vue de ce psychologue:
"D'une part des violences faites au corps aimé quand il est soumis à une chaleur de 1 200 degrés pendant plus d'une heure. Tout ce qui fut aimé (le visage, le corps, les mains et le regard, sans oublier les taches de rousseur ), tout ce qui fit l'objet des soins les plus constants et les plus assidus, tout est, au sens propre, pulvérisé, réduit à l'anonymat d'un tas de cendre".
Mais il y a une part d'amertume et beaucoup d'ironie dans ton poème.
Mon amitié
Dumnac.