Cette fleur qui orne ta boutonnière
Est comme le nuage. Il était là hier.
Les passants étourdis, qui ne savent où aller,
Regardent de bas en haut, les rues et les quartiers.

L’insouciance est pour eux comme une fierté
Ils s’en targuent bien fort. Ils n’ont rien à prouver.
Insouciants quotidiens eux aussi, les enfants
Ils jouent et parlent fort. Un jour ils ont vingt ans.

Respirer doucement les embruns du passé…
Quand au petit matin, nous « devions y aller »
Aujourd’hui notre esprit se rappelle encore,

Que l’insouciance survit, dans un coin du décor.
Mais elle rime si bien avec l’innocence,
Que si vous le voulez, j’en ferais quelques stances.

L'insoucience n'est souvant que très passagère. Ton sonnet est très bien, quand à tes stances j'espère pouvoir les lire un jour.
Bienvenue dans le site
Amicalement
Henry

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Un joli sonnet que j'ai eu plaisir à lire.

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De forts jolis vers
Bienvenue à toi
Ghis :-(

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