Tes mots dans les airs doucereux de printemps
Se parfument aux odeurs des roses
Ils sont dans les allées où mes pensées frissonnant
Font trembler les fleurs que les rosées arrosent
Le printemps est en ta demeure cultivé
Sur les terres d’une île où les souvenirs accourent
Rayonnant ton visage par le soleil raffiné
Miroitent les flux d’éclairs de l’amour
Sur les cimes des arbres partout accrochés des nids
Où s’éternisent les ombres des beaux jours
Faisant dans les rêves des branches fleuries
Sous un cœur soleil atour
Mon esprit égrène les épis
Sur ta tête aux tresses d’or
Mes vents en font un collier assorti
Aux cieux de l’absence pour toujours
rivedusoleil
13/12/2016
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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