Lorsque les cercles s'enroulent
au-dessus
de ma tête

et que les horizons
gravitent
dans ma
mémoire

je vois des orchidées danser dans les salons
elles ont des flottements dans leurs tiges anciennes

et l'odeur du café tourne mes sentiments

les mégots du cancer décorent les overdoses

je suis l' handicapé
de l’oreiller meurtri
il est coincé derrière
l’hôpital du silence
et je passe lentement
à côté de l'entrée

j'avance dans les couloirs de la mort qui me guette
avec des artifices pour me donner une vie

ces cercles
sont
en moi
et couvrent
mon destin

"je vois des orchidées danser dans les salons
elles ont des flottements dans leurs tiges anciennes"

Une image onirique et des mots qui balancent entre rêve (cauchemar ?) et réalité.

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.