Le charme des petites esquisses orientalistes. (Piove dei progetti orientalisti.)
Le charme des petites esquisses orientalistes.
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(Piove dei progetti orientalisti.)
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Plein soleil, la pluie des lavis
Clapote l’horizon azurite,
Zinzolin, chemin de la vie,
Tempête de ciel émérite.
Piove, sciaborda la vita,
L’orizzonte sbraita al lavaggio,
Zinzolin in deserto d’acquarello,
Sulle dune del cielo.
L’or et l’huile inondent aux dunes,
Plissent de vague, le sable capricieux,
L’arc en ciel diurne, perce à la lune,
Pousse le chariot vers d’autres cieux.
Il pleut, clapote la vie,
L’horizon tempête au lavis,
Zinzolin en désert d’aquarelle,
Sur les dunes du ciel.
L’éther charme, dilue l’aquarelle,
Trace des tourbillons, sillons décidés,
L’espace se prend au jeu d’une marelle,
Premier jour du reste d’une vie évidée.
Quand le désert est dans l’air,
Passent des caravanes d’êtres inquiétants,
Au fil d’un défilé sommaire,
Poussent des odalisques aux seins remontant.
Dans la poussière prodigieuse,
S’accrochent des mirages à paupières,
Silhouettes clandestines, mystérieuses,
Qui s’exilent dans le silence des pierres.
Piove, sciaborda la vita,
L’orizzonte sbraita al lavaggio,
Zinzolin in deserto d’acquarello,
Sulle dune del cielo.
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