Parfois / il est des nuits qui s’allongent
Et des jours trop minces
Où l’aurore-crépuscule bascule
Dans le doute et l’incertitude


Sentir sa chair / la main tendue
Comme une résistance possible contre la mort
Ou ouvrir les yeux
Pour s’assurer que rien n’a disparu


Mais l’autre aussi est matière
Une assurance contre la mort
Même si l’agonie se pense à deux //

Magnifique Richards!

Qui donne matière à réfléchir...

Bonne soirée
Amicalement
Marc