Dès le prochain printemps je voudrais t’amener
Au jardin enchanté qui revient dans mes songes.
A l’ombre de la Meije au matin qui s’allonge,
Sur les sentiers fleuris laisse-moi t’emmener.
Nous pourrons un moment tous deux nous promener
Dans une aura d’amour où cet endroit nous plonge
On y oublie chagrins, mesquineries, mensonges,
Et de douces pensées tu pourras ramener.
Un banc sera pour nous une halte tendresse.
Chaque fleur offrira ses charmes à notre adresse
Et nous échangerons de sublimes baisers.
Et jusqu’au bout du jour où le soleil trépasse
Nous aurons du bonheur. Nos âmes apaisées
Oublieront les soucis et puis le temps qui passe.
Daniel Dive le 3 novembre 2016
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)