Assoiffé du désert, avoir l'eau à la bouche,
Attendre impatiemment que l'on n'y touche,
Mais rien, ni force de valeur et sécheresse,
Repris au ciel, j'ai exhumé la diablesse...

Craquelé de douleurs les mains punies,
Comme si les jambes n'ont rien subi,
La route et le prix de ce triste choix,
De mots simples, mais toujours de foi...

Assoiffé de vie et d'amour, tu te perds,
Le paradis est haut, mais ici c'est l'enfer,
Les pauvres souffrent de la famine,
Et les riches, par ce qui les incrimine...

Pire solitude est celle de la compagnie,
Elle brille d'ombre dans ciel bleu infini,
Un corps seul avec les âmes de liberté,
Ils tisseront l'étoffe rouge de la fierté...

Les anges sont partis loin de l'égoïsme,
Les démons ont bafoué nos charismes,
Oui on s'égare dans la paix et le bénéfice,
Mais on s'unit face à la guerre et ses supplices...

Ainsi sommes nous...

LeCrieur...

ainsi nous sommes
merci pour ce superbe et touchant partage
bonne journée
Denise

Un cri déchirant sur nos insuffisances
Un constat de douleur
Dans l homme où est le coeur de l ange
Bisous Allan

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Amicalement Alanna

fiuuu
un cri du poète...
merci du partage
bravo

un très joli partage

Souhaitons nous un peu de bonheur...
pour notre salut...

Amicalement
NL

Merci pour vos commentaires...