Steven
C’est par un drôle de hasard,
Une chose interdite par la loi.
C’est à cours de solutions, sans pétards.
Que je t’ai rencontré, j’avais besoin de toi.

Je n’aurais jamais cru, jamais imaginé.
Que ce jour serait fort, si important.
Je n’aurais jamais voulu, jamais pensé,
Que ce serait, « une mort », un révélant.

Qui es-tu Steven ? Qu’y a-t-il en toi ? Ton âme.
Je voudrais le découvrit si tu m’ouvres aussi ta porte.
Je voudrais être pour toi ce qui m’a manqué, mon drame.
Je voudrais être dans l’ombre ton ami, ton pote.

Pas de morale, pas jugement, que des conseils.
Pas de pognon, pas de chichon, pas de comptabilité.
Pas de triche, pas de mensonges, pas de trahisons, pas de fiel.
Juste ta vérité, la mienne, celle que tu voudras bien me donner.

Je sais que mes mots troublent parfois les sens.
J’ai vu dans tes yeux la sensibilité nécessaire.
Je sais que ça peut faire peur, c’est direct, c’est mon sens.
Mais j’ai déjà ressenti dans tes regards l’Ami, peut-être un jour le frère.

Ce n’est qu’un début, curieux, un cinquante !
Ce n’est que le début d’un chemin « de croix ».
Une route, non une petite voix intérieure qui chante.
Je te tends ma main, je ne le fais plus tu sais pourquoi.


Je m’excuse madame d’avoir « utilisé » votre fils.
Je m’excuse de ne pas vous avoir laissé parler…plus.
J’avais à tout prix besoin de lui, pour créer, pas par vice.
J’avais besoin de ça pour parler, écrire à des inconnus.

J’espère que vous ne m’en voudrez pas je n’ai rien calculé.
Je n’ai presque plus d’amis, vous savez aussi pourquoi.
La franchise qui se dégage de vous est vraie.
Je vous respecte et Steven aussi, je vous voix.

Ma main est prête aussi pour vous si vous voulez.
Un ami fidèle, sincère, et toujours présent.
Ne passons pas à côté de cette chance, le ciel a parlé.
Le temps fera son affaire pour inventer l’histoire, devant.

Steven je t’attends, sur le quai au magasin.
Allez viens j’ai beaucoup à donner, mes années en plus, mes trente.
Steven viens toi aussi me tendre la main.
Allez viens, tu m’as déjà donné ton oreille, ton écoute bienveillante.

Tu as devant toi le résultat.
De ce que tu m’as apporté aujourd’hui.
Non !pas ce bout de c… ce « caca ».
Tu es l’auteur de ce poème, si, si !