Mon coeur s'accapare la désolation de l'absence
Figeant la mémoire à ce premier jour de rencontre
D'un simple regard mon âme s'en est trouvé bouleversé
Étrange miroir qui semblait parfois s'inverser
Le temps ce cri dans l'encrier au cadran de la montre
Brûle mon sentiment mon attention et tout mes sens
La froideur de celle que l'on nomme glace l'instant
Mais ton souvenir réchauffe les icebergs de l'oubli
De toi je sais que j'en garderai l'empreinte et l'indelebile trace
Un dernier baiser comme étreinte sur ton front rien ne s'efface
Je n'ai jamais su te dire ce que je te dois aujourd'hui
Je laisse ma larme d'homme s'emporter au gré du vent.
N'brik HENA...
----------------