Accroché à la vie par un fil,
Il regarde passé ses envies ,
Pour lui, tout est synonyme de défis,
Il ne peut plus quitté son lit.

Dans sa tête, se bousculent des rêves,
Surmonté la maladie,faire de sa vie une idylle,
Mais il est là, alité ,traqué comme une bête,
Plus un mouvement, de son corps n'est facile.

Insoupçonnable,indomptable son mal s'étale,
Tel un engin,qui ouvre un chemin et détruit son destin,
Il ne verra plus ,les roses posées sur la table,
Il attend la fin ,serin car il sait qu'il ne peut rien.

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lagrib

"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"

Triste d'être malade , alité et voir si beau soleil dehors belle journée à vous

Bonjour lagribouille, triste poème, certains maux nous sont fatals

Amicalement

Vraiment triste de lire de tels mots ! Garder l'espoir tout de même ...

Douces pensées amicales.

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« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid