Tout comme si j'enfilais, des perles autour d'un fil,
Mon amour s'empilais, de sentiments infimes,
Quand ton âme s'éloignait, j'en devenais infirme,
Car tes yeux racontaient, une magnifique comptine.

C'est un brun nostalgique, qui me fit prendre ma plume,
D'une union si unique, nous gravimes toutes les dunes,
Contournant la physique, j'en décrocha la lune,
Et t'offris cette runique, qui est toute ma fortune.

Les années defilerent, au rythme des saisons,
D'un soupson éphémère, je me fit une raison,
Si le coeur nous libère, de si fortes oraisons,
C'est pour suivre la lumière, des plus beaux horizons.

Si mon encre est mon sang, laisse moi m'ecorcher,
Avec mes mots d'enfant, je viens tout te donner,
Du plus beau sentiment, laisse nous partager,
Le futur le présent, sans omettre le passé.

Tu es reine de la joie, déesse de la beauté,
La douceur de ta voix, ta sensibilité,
Ont fait de moi un roi, et me font exister,
Car tel que tu me vois, j'aimerais me regarder.

Si subtiles et sincères, puisses tu croire ces syllabes,
Ce texte met en lumière, une passion immuable,
De sensations stellaires, d'un bonheur incroyable,
De l'ensemble des repères, qui te sont imputable.

Aimer ce serait vivre, je suis donc bien vivant,
J'aimerais donc te suivre, te donner ce présent,
Qu'est ce si beau sourire, ce plaisir imminent,
Qui serait de t'offrir, le bonheur d'être maman.

Sublime maturité, de te voir enfanter,
Par cette union sacré, de deux âmes enchantés,
La relève du passer, pour permettre d'avancer,
Sentant sur nous posé, le regard d'un bébé.

La tendresse infaillible, de votre complicité,
Serait imperfectible, de réciprocité,
D'un soupire inaudible, je saurais m'immiscer,
Auprès de cette idylle, pleine de sincérité.

Des jets de ressenti, que j'expose dans mes proses,
En ressorte un abri, que ciel je te propose,
D'un ami attendri, d'un amour dans l'osmose,
Sécurisant à vie, car je te l'offre en rose.

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" Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.”