L’histoire du monde
L’univers n’est que la cause d’un grand bouleversement.
Il en est jailli des tas de planètes, c’était le commencement.
La terre se forme et son atmosphère était saine et viable.
Ce fût alors le début de la civilisation et de la faune affable.
L’être humain, avec son intelligence limitée, sinon inexistante
apprit à vivre, à se nourrir simplement sans d’autres attentes.
Au début marginal, il chassait, pêchait ou cueillait des fruits.
Petit Ă petit il forma des petits groupes, plus fort pour la nuit.
Il n’y avait pas de loi, et c’était l’homme contre le dinosaure.
Puis le grand chaos et ce monstre disparut, c’était son sort.
D’autres espèces firent apparition, féroces et très affamées.
Ce fut la loi du plus fort et l’éternelle question de se sustenter.
L’atmosphère était saine et la vie se transmettait avec facilité.
L’homme eut l’idée de se servir de roche et de bois pour s’armer.
C’est alors que des zizanies se créèrent, des meneurs s’imposaient.
Des clans se formaient et bien entendu les disputes débutaient.
Dés lors ce fût le début de l’ère nouvelle, vaincus et vainqueurs.
Le début des hordes entêtées qui envahissaient les camps primeurs.
Massacrant, violant, pillant, les chefs de meutes s’auto déclaraient.
Enfin monarques, dictateurs, ils s’en allaient jouter d’autres contrées.
Ainsi au fil des siècles, semant trouble et terreur au nom de la religion.
La fameuse religion, belle excuse, mais c’était déjà une féria des millions.
Ces seigneurs de la guerre ignoraient leurs morts de guerre, Ă leur service.
Se voyant empereurs, rois, que sais-je ! Laissant libre cours aux sévices.
Jusqu’aujourd’hui où l’on a partagé la terre en pays avec leur dictateur,
c’est la même chose en beaucoup plus moderne, un monde dévastateur.
La configuration est semblable, il y a pauvres, exploités et aussi démunis
et l’opulence extrême qui règne à coups de lois et de riche psychologie.
Si ces dieux du monde sont croyants comme ils osent le disent très fort,
ils devraient avoir peur de la mort, quand il faudra avouer ses tords
face à leur ferme dieu s’il existe ; j’y crois pas ; je l’espère si fortement.
Et nous les manants partirons le jour voulu, l’âme belle sincèrement.
CHRIS Pour vous
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chris pour vous
salutations
