En déroute ce matin,
Cherchant l’ivresse
Des quatre chemins.
Grimace d’un sourire,
Mais tristesse dans ses yeux.
La fièvre aux creux de ses reins.
Tous les soirs, séisme dans ses draps,
En quête d’un voyage.
Dans l’adultère de ses mots,
L’enfer dans les entrailles,
N’apaise point ses maux.
Rencontre avec le teint blafard,
Maigre comme un clou.
Pour éteindre ses flammes,
Mais n’a pas pu venir à bout.
Plaisir d’un soir avec l’amant,
Elle ne broie que du noir,
Et la détresse est au bout.

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Bonsoir à vous sacro
Votre poème sans gaieté mérite le détour...


Amicalement...

NL

J'aime ce texte malgré sa profonde affliction!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

Merci pour ce superbe partage j'ai adoré

luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bonjour Sacro une lecture intéressante.
Amitié.

Capricorne