L’air est parfumé d’une odeur de thym,
Douce évanescence, caresse printanière.
Dans son regard d’ambre : le ciel du matin,
Reflet de ma vie, âme prisonnière.
Douce évanescence, caresse printanière,
La brise légère porte les espoirs.
Reflet de ma vie, âme prisonnière,
Le chant de l’oiseau griffe ma mémoire.
La brise légère porte les espoirs,
Doux parfums sucrés, sur la plaine nue.
Le chant de l’oiseau griffe ma mémoire,
A l’ombre grise des ans suspendus.
Doux parfums sucrés, sur la plaine nue,
Sur l’aile du vent glissent doucement.
A l’ombre grise des ans suspendus
Mon cœur lourd s’endort tout en t’espérant.
Sur l’aile du vent glissent doucement
Des senteurs d’encens et de thym mêlées.
Mon cœur lourd s’endort tout en t’espérant
Sous le ciel percé d’étoiles dorées.
Des senteurs d’encens et de thym mêlées,
Des lavandes bleues embaumaient le jour.
Sous le ciel percé d’étoiles dorées
Mes rêves pastel tracent tes contours.
Des lavandes bleues embaumaient le jour,
Des senteurs de roses parfumaient l’air.
Mes rêves pastel tracent tes contours,
Mon corps orphelin crie tes aubes claires.
Des senteurs de roses parfumaient l’air,
Des vanilles douces nos petits matins.
Mon corps orphelin crie tes aubes claires,
L’air est parfumé d’une odeur de thym.
20mai 2016
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