Les moustiques...
Les moustiques...
Au port on trempent dans l'amertume glauque
Les nuisibles moustiques sont à bord
Il n'est d'endroit au calme que dans sa cabine
Dormir tranquille , seul et heureux .
Au Phébus quant tu te couche ; alors le vent
Lorsque le ciel tendre-noir , douceur du soir
Te souviens tu de ce ciel si rouge au loin
Lorsque le vent fiévreux soufflait trop fort .
Au tendre sera l'été, mais , las d'attendre
Quant les matelots à bord
Les mouettes folles de l'île aux oiseaux
Il y en a marre de les entendre mourir .
Quand nous y sommes allé, la bas
Et toutes , quant leurs hurlement raisonne
Dans tant de cris de désespoirs, et d'impuissance
Voir ce carnage ? de supporter de les voir (elles) mourir .
Les moustiques de la mer , et de la plage
Ils nous dévorent , piquent nos corps
Déjà ! nous sommes fatigués-apeurés-inquiets
Pourtant que dire d'eux et de l'île au diable .
L'île aux oiseaux ou ces mouettes bouffonnes
Trop bien charnus (nous) , fait de chaire
Nul morceaux de crevettes ou d'algues saines
Dans cette mer impropre ; avec nos gorges qui brûlent .
Nos corps tantôt attaqués par les moustiques
Aussi par les hurlements qui la nuit la bas
Fait souffrir avec une lâcheté sans précédent
Les beaux oiseaux que sont les mouettes .
En revenant de l'île maudite ; ou d'ailleurs...
On y été avec stupeur et froideur sans comprendre
Les moustiques nous ont accompagner
De si faibles efforts , et les craintes des piqûres .
Sont plus douces dans ma chaire , alors
Que de comprendre ou de les supporter
Mes idées bleues d'un été au soleil , rien
Ces idées plaisantes est un panier que le Diable a pris .
La guérison de tout ce qui peut subvenir à tout moments
Ici dans ces yachts de gaieté-de joie -de jours heureux
Alors que la plage au bout de l'enfer raisonne
Dans mes tempes ; ces oiseaux déjà morts peut être ?
Les moustiques eux aussi contaminants
Par les dards cuisants comme le feu
Des aiguilles de moustiques comme infortune
Mais bon sang ou est passé : l'amour de la mer ?
Mais bon sang , la mort serait plus forte que l'amour !
Cette plage comme unique réconfort que son sable
Le soleil qui de ses rayons brille si fort
Les moustiques attirés par les cadavres des oiseaux .
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