Je suis beaucoup plus près de mes quatre vingt ans
Que des soixante-dix et il est étonnant
Que chaque premier mai pour moi reste banal
Car jusqu'à aujourd'hui c'était un jour normal !
Il y a dans la vie de ces moments de grâce
Dont le doux souvenir plus jamais ne s'efface.
Alors quand ce matin j'ai lu ton beau poème
J'ai compris que ce jour ne serait plus le même.
Moi je n'ai jamais vu tes yeux ni ton visage
Ne sais que ton prénom, ne sais rien de ton âge
Mais cela ne fait rien, car je connais ton âme
Et ton cœur généreux tout brûlant d'une flamme.
Qu'importe si Alger ou encore Agadir
Ne nous voient rencontrer. J'en ai bien le désir.
Mais la vie est ainsi, faite de frustrations
Cependant l'Amitié survit aux déceptions.
Car cette amitié vraie qui existe entre nous
Aide à se relever si l'on tombe à genoux
C'est un moteur puissant, ce n'est pas une fable.
Elle ajoute à la vie sa douceur ineffable.
Il n'y a entre nous aucun sentiment louche
Aucun mot déplacé ne sort de nos deux bouches.
Et je dis simplement « ton poème me touche
Et me rend très heureux ma chère amie Nadouche »
Adn 01.05.2016
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