Quand ces arbres qui bougent
Ouvrent grand leur bouche
Pour être rassasiés
D’un air pur et léger
Quand ils étanchent la soif
De leurs racines mortes
Ils revivent doucement
En appréciant le vent
Quand cette végétation
Se sent étouffée
Elle réclame la boisson
Qui tue l’air vicié
Ne restons pas témoins
De ce grand besoin
Qui n’est pas anodin
Car c’est notre jardin
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Geneviève