Au pays des pharaons,
On peut voir couler le Nil,
Alimenté de limon,
Semant ses rives fertiles.
Veillé par la grande Isis,
Il coule paisiblement,
Au gré de ses doux caprices,
En un fleuve transparent.
Composé de deux rubans,
L'un appelé le Nil bleu,
L'autre baptisé Nil blanc,
Adorés de tous les dieux,
Fleuves mêlés à Khartoum,
Dans une belle harmonie,
Oubliés du vent simoun,
Chaud souffleur de symphonies.
Linette - 6 avril 2016