Des rires de garçons,
Jouant au verger,
Résonnent incisifs
Sur deux yeux tendus
À la fenêtre ouverte,
En mille pétales de cerisiers.
Pas une miette n’est perdue…
Et deux autres en rêvent,
Les paupières en voiles
Au vent d’artimon,
Bercées par la mer.
Où l’odeur du printemps
Vide l’encrier,
Arrête le temps,
Sèchera la plume,
Aux instants de la tendresse,
À l’encre des mots…
REPONSES AUX COMMENTAIRES
espace anti-remonte d'auteur, Copyright© at124mpu#678@gentilprince, j'aime bien quand tu viens
@Capricorne tes com sont de miel
@parfundoux merci de venir souvent, j'aime bien aussi
@EvilFranck from Hell, heureux si ça fait rêver, j'écris un peu pour ça... après...
@hakimAR trop d'honneur, cher
@Lochaber je suis bien d'accord, au boulot mauvaise troupe... non mais