Oui, le prodigue enfant, un jour, va revenir À ma porte frapper, dès le prochain printemps ; Ce chagrin qui me ronge, jamais ne va finir, Certains, toute leur vie, restent adolescents !
Caïn tuera Abel, son frangin dès demain, J’aime imaginer des univers parallèles, Où je peux, à loisir, la cour faire à ma Belle, Je rêve d’un amour, qui jamais ne prend fin.
---------------- Le Maroc à quatre mains . Recueil peintures de Micam et poèmes d'Adn. Couleurs et mots en osmose. Recueil peintures Micam et poèmes d'Adn. Connivences. Recueil peintures de Micam et poèmes d'ADN. AXELLE AUTOMNE, HIVER roman par Micam (mon ...