Chair en errance




Audace à cet être qui sans ne rien savoir de l’existence
Manque son sens et poursuit cette vie à vivre
Quelle soit une ou multiples il est le temps
De se livrer à tous les plaisirs les plus lointains

Par-delà de l’outre-chair il fait laisser son cadavre
À ceux qui entonnerons un chant épicurien
En injectant par délice quelques traits venins
Pour montrer qu’aucun endroit n’est un havre

De l’aurore stérile, l’existence avance
Sans fatalité ni destin sinon la chance
Que l’on se donne dans la culpabilité de l’innocence.

Bonsoir professeur,
Personnellement j'ai du mal à suivre votre fil conducteur dans vos poèmes. Vous êtes demandez pourquoi ? Il me semble que je ne suis pas seul. Je vous le dis sans aucune apriori. Bien sûr vous n'êtes pas obliger de me répondre.

Bonne soirée