Enfin vous voilà, où diable étiez vous
J'étais aux abois, je cherchais partout
Mais quelle folie, cette envie de fuir
Qui me trouble fort, ôtant mon plaisir

Ma page est blanche depuis plusieurs jours
Veillant au plus tard et mes yeux sont lourds
Pourquoi cette fugue en d'autres contrées
Et quelles idées neuves que vous rapportez

Je me sentais seul, ma source tarie
Ma plume pleurait n'ayant plus de vie
Ma tête était vide il y résonnait
L'appel au secours , je vous suppliais

Ne me laissez plus avec ces tourments
Je n'existe plus au milieu du temps
Restez avec moi car je vous chéris
Enfants de ma joie et de mes écrits

merci pour ce superbe écrit
bonne soirée
Denise

Bonsoir Christophe61, très belle inspiration poétique sur le manque d'inspiration

Amicalement

Originale et bien écrite cette supplique à l'inspiration !
Amitiés.

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"Les poèmes sont en chemin : ils font route vers quelque chose." Paul Celan