Sous un ciel d’hiver pâle qui fait froid au cœur,
Sous son manteau de neige semblant pétrifiée,
La campagne endormie semble arrêter les heures
Et dans un grand silence elle apparaît noyée.
Sous son manteau de neige semblant pétrifiée
La plaine nous renvoie sa tristesse infinie
Et dans un grand silence elle apparaît noyée,
Et même les oiseaux retiennent leurs cris.
La plaine nous renvoie sa tristesse infinie,
Les arbres décharnés frissonnent tristement,
Et même les oiseaux retiennent leurs cris,
Dans ce paysage disant la fin des temps.
Les arbres décharnés frissonnent tristement,
Et on pourrait penser qu’ils ressentent la peur,
Dans ce paysage disant la fin des temps,
Sous un ciel d’hiver pâle qui fait froid au cœur.
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)