Pour certain le mal-être,
Se gère par le poids,
Des kilos de douleur,
L'exprimant à leur façon.

Le poids de la tristesse !

D'autres font l'effet inverse,
Détestant la nourriture,
A se faire vomir et se détruire,
Il faut lire dans leurs âmes.

Comment les aider ?

Il faut les aider, par un mot d'amitié,
Ne croyez pas qu'il demande la charité !
Non ! non ! ils veulent extérioriser,
Mettre l'accent sur le mal-être...

Des gens différents...

Mais ou est-elle cette différence,
Si ce n'est dans le regard de l'autre !
Celui qui nous regarde de bas en haut,
Et la notre souffrance s'accentue,
D'être mal comprise et mal vue.

Le corps ne demande...

Il ne demande qu'à exploser,
A être libéré pour enfin se réconcilier,
Avec leur véritable identité,

Celui du verbe "Aimer".

Clotilde de St Jean

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

Des maladies a prendre au serieux! Les maladies de l'ame sont souvent les pires.
Bel hommage! Bises.

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Un poème non pas pour les personnes qui souffrent de ces malaises mentaux, mais bien pour leur entourage, pour leurs amis qui sont censés les comprendre.
J'ai beaucoup de considération pour ces personnes sensibles à ce genre de situation, merci à toi pour ces quelques lignes criantes de vérité !

Jonathan.

Bravo Clotilde pour ce regard tellement juste et cette alerte bien tournée.