D'une main fut la mienne ou le geste est sincère
Soyez-vous à ma table et soyez bien venue
Mimant en maladroit mon coeur le vrai d'ulcère
Qui m'inflige sans fierté l'être entier mis à nu
Vous assoir je vous prie et même peu de temps
Serait remplir nos verres d'un corps d'éternité
Désemplir des contraires en sa réalité
Moi je trinque à vos yeux pour dix millions d'instants
J'y éprouve un sourire où le votre l'enrôle
Lui offrant bon esprit est des joies oubliées
Quand pour d'autres il s'unit de millions d'autres rôles
En semblant de fortune quand le vrai reste un pauvre
Que de l'or à ma table où parure est assise
Vous avez acceptez, vous l'aiguille de ma montre
Qui s'arrête à ma fable où le temps s'eternise
Celle que je raconte en narrant la rencontre .
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.