Au dessus des siens
En contrebas, ses voisins.
En lotus incarné,
De la chair s’éloignait…

Serpent en pleine mue
Sur sa douzième vie comptait.
Ce qu’il ne savait plus
C’est qu’il était un sinistre valet.

A la solde de sa faim,
Il rampait vers demain.
A ses membres estropiés,
Toute une réalité s’agitait.

Ce n’était donc pas une illusion
Cette gerbe liquide au fond !
Je vois des colonnes d’eau
Se vidant de Moi, m’faisant la peau…

Le temps des sirènes à tonné
Et le mocassin a avalé de travers.
Sa bouche de coton vit, perd, naît
Pour distiller des hautes chutes, des revers.

J'ai peur des serpents mais je ne leur ferai pas de mal pour autant

joli j'ai aimer

amitiés jc

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"Aimer ce n'est pas se regarder l'un l'autre mais c'est regarder ENSEMBLE dans la même direction" Saint Exupéry"

Tu es la sirène qui nous révèle ses mystères .
HONORE

Bonsoir Sitem, bel et original partage poétique

Amicalement