Souvent,
Quand arrive le soir,
Que la nuit me couvre,
De son duvet miroir,
Dans mon esprit, s’ouvre,
Un champ.

Un champ,
Aussi vaste et vert,
Aussi beau et tiède,
Qu’un mirage ouvert,
Vers un rire remède,
D’enfant.

L’enfant,
D’hier ou d’aujourd’hui,
De mon présent passé,
Embrun de nostalgie,
En mon cœur parfumé,
D’encens.

L’encens,
Sucre des souvenirs,
Indélébile feu,
M’incitant à partir,
Pour découvrir les bleus,
Torrents.

Torrent,
Jaillissant de la roche,
En éclats vaporeux,
Dans mes bras de mioche,
Dorment tes orageux,
Volcans.

Volcan,
Symbole de ma colère,
D’un rêve utopiste,
D’un jour voir sur terre,
Sept milliard d’humanistes,
Vivants !

Loïk Perrin

L' échelle vers l'inaccessible se perd
Dans nos rêves soudain tristes

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Amicalement Alanna

ce rêve est malheureusement pas accessible

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

la divagation de ces mots qui s'entraînent
nous amène à un merveilleux poème

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Geneviève

Encore une fois, merci à tous pour vos commentaires.

C'est parfois assez compliqué de changer de structure d'écriture, de tenter, d'essayer, mais c'est aussi très agréable et ça rend l'écriture plus stimulante.

Merci !!!

Loïk. P

un beau partage que j'ai aimé

fond et forme

merci

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"Rêve ta vie en couleurs
C'est le secret du bonheur" Walt Disney

Belle pérégrination poétique à travers les contrées du rêve...



Amicalement... NL

Une jolie progression vers une belle utopie.... Si seulement cela pouvait arriver !

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont