Là , j'avoue, je sèche lamentablement sur ce fichu secret si bien gardé : le poème est beau mais le code, s'il y a, est ardu ! lol
Ni les premières lettres, ni les dernières, pas non plus un mot ou une phrase sur deux : j'en perds le peu de latin qu'il me reste et je viens d'arracher ma dernière poignée de cheveux !
Tant pis, gardez donc votre secret bien celé, au chaud blotti dans vos lignes et juste permettez que je salue votre hymne ! Bravo !!
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L'homme est le rêve d'une ombre
(vers 135-140 des Pythiques de Pindare, le prince des poètes).