J'ai voulu le vertige et aimé l'acrostiche
Et il m'a enflammé en ce feu de l'espoir
Selon un mot sacré qui ne te laisse choir.
Avide d'un amour qui plait à l'hémistiche,
Il faut que j'ai de toi un sentiment de paix
Selon que la vie nous rassemble et à jamais.
Que ta main soit douce et ton regard de tendresse
Une telle harmonie s'emploie aux perfections
Et ne laisse à quiconque un droit sur tes passions
Tant et si peu qu'il faut t'accorder de la liesse.
Une vie sans chanson où son air soit grivois
M'est trop insupportable et presque trop sournois.
Aujourd'hui est le jour de la beauté ouatée,
Initialement le bonheur insoupçonné
Mais encore ajouté à la liste d'été
Est le mariage ainsi que la joie l'a nommée.
Si elle vient à moi c'est un vent de gaieté!
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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