Valoriser c'est déprécier car c'est généraliser une singularité dans le cas d'une optique métrique, c'est singulariser une généralité dans le cas d'une synesthésie syllabique. Rien à voir avec les "si" d'un Paris qu'on pourrait mettre en bouteille; y en a marre des "si" du ventriloque et des bouteilles qu'on met au frigo. "Parce que vous le valez bien!" dit la publicité; c'est votre portefeuille qui le vaut bien vous dit le cosmétique. Alors arrêtons de feindre en la valeur de l'être quand ce n'est que l'avoir qui promeut la fiesta aristocratique avec des apéricubes en supplément! Non! Ce n'est que mesquinerie le marché du bien-être par le bon-vouloir qui se taxe d'être honorifique sur les liens de parenté entre le grizzli et le psychopathe. Cessons l'étalonnage de la valeur, lui qui fait du sexe la grandeur impie de la fellation innocultée. Et il y aurait de la gêne à faire parler la futilité au nom de la nuance qu'on prend pour de la profondeur quand l'hypocrisie décide du tapage de sa valeur alors rendue manifeste et subtile quand il ne saurait y avoir que vanité et irresponsabilité avenantes. Non! Nous n'irons pas au bois cueillir des cerises mais à la croix bouillir nos bêtises pour en ruminer le beffroi.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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