Mon petit cœur bat la chamade,
prêt à recevoir l'estocade,
quand je le vois sur l'esplanade,
m'accueillant d'une tendre Å“illade.

Je crois que je suis amoureuse,
tant j'ai l'âme si bienheureuse,
oubliée des larmes pleureuses,
toute à ma passion enjôleuse.

Consumée par le feu du désir,
je ne veux que trouver du plaisir,
dans son regard couleur bleu saphir,
quand je lui décris mes délires.

Une fois réfugiée dans ses bras,
il me chuchote des mots tout bas,
l'amour fou qu'il éprouve pour moi,
sans me demander de faire un choix.

Je me fais contre lui câline,
gentille femme ou Messaline,
implorante ou plutôt taquine,
pour ses doux baisers sans épines.

Je mériterais la censure,
vu le feu de cette écriture,
tentant de l'homme la capture,
par des vers de littérature.

Ah cet amour ,que de belles choses il vous fait dire!
Un compatriote du Languedoc
Amitiés de plume
Marc

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Segolin183 mi-ange mi-démon

merci pour ce très beau poème
bonne journée
Denise

Une bienheureuse coquine
Qui se veut surtout câline
Tes enjoué
Merci

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Amicalement Alanna

tout plein de finesse

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

gentille.. ou Messaline..
un peu des deux.. peut être

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Bonjour Linette, très beau partage poétique, une quête d'amour vrai en beaux vers ici posée


Amitiés