J'adhère totalement à ce cri contre ces chasseurs barbares.
Bleuet
"j’ai la tête qui tourne, vertiges en cadence,
mon cœur palpite de tristes secousses
je libère ces animaux dans ce rêve intense,
sur la page j’honore leurs mémoires aigre douce…
je hais le chasseurs dans mes songes ineffables,
j’aurais adoré pouvoir vous conter une fable
mais l’horreur de ces tueries m’est insupportable,
la plume libère alors ces ombres effroyables…."