Il pensait à sa mère, à sa tendre maman
Elle était toujours là , fidèle à son enfant,
Comme l’est une biche envers son frêle faon
Qui s’étonne de voir un tel enchantement.
Si les yeux d’une mère ont le pouvoir étrange
De fixer Ă jamais sur le fruit de son ventre
Des couleurs et des mots dont l’amour est le centre,
C’est afin qu’à tout âge on demeure son ange.
Il pensait au passé qui n’est jamais qu’hier,
A quel point sa vie ne s’établit qu’en lumières
Quand on est élevé par un ciel chèrement.
Et s’il doit révéler les hauteurs de son coeur,
Il dira pénétré d’une infinie candeur
Merci maman…merci maman…merci maman.
M.H.
25/08/2015.
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MĂ©fiez vous des apparences